Submitted by Sandy Graham
Twelve years after their meeting, Rosemary Standley (vocals, Moriarty) and Dom La Nena (cello, vocals) continue their singular musical adventure with the release of Nuées Ardentes, their third album to be released on October 3.
Exploring the theme of adolescence and its upheavals, the duo revisits with grace and audacity songs inscribed in the collective memory, but also baroque and traditional repertoires, to trace a true sensitive cartography of this incandescent age where we vacillate between shadow and light.

Carried by the magnetic voice of Rosemary Standley and the vibrant cello of Dom La Nena, this singular repertoire weaves links between eras and styles: songs by Bronski Beat, The Cure and The Doors dialogue with a tune by Stefano Landi, a song by Barbara and traditional English songs.
The Maîtrise de Radio France, directed by Sofi Jeannin, brings a choral light to this deeply moving ensemble. With Nuées Ardentes, Birds on a Wire signs a record that is both intimate and incandescent.
Among the flagship tracks:
– Smalltown Boy (Bronski Beat), emblem of the 80s and the quest for identity,
– The Lovecats (The Cure), revisited with a gentle irreverence,
– People Are Strange (The Doors), plunged into strangeness and solitude,
– Perlimpinpin (Barbara), a poetic and timeless anthem,
– Oil painting (Bobby Lapointe), full of fantasy and humor,
– A baroque tune by Stefano Landi, which dialogues with these pop-rock classics,
– Traditional English and Latin American songs, where we find the acoustic and organic fiber of the duo.
Stripped to the bone or reinvented in ample textures where the cello becomes orchestra, keyboard or percussion, these familiar works take on a new, troubling and luminous colour. The exceptional participation of the Maîtrise de Radio France, directed by Sofi Jeannin, brings a new choral dimension.
Born from an ephemeral project imagined at the Cité de la Musique, Birds on a Wire has established itself as an essential duo, praised for its art of intertwining languages, centuries and styles. Their self-titled debut album (2014) celebrated childhood songs and baroque gems, while Ramages (2020), which sold nearly 50,000 copies, explored a repertoire ranging from Pink Floyd to Brel.
In twelve years, they have conquered the greatest stages — Philharmonie de Paris, Olympia, Théâtre antique de Fourvière, Philharmonie du Luxembourg — and multiplied prestigious collaborations (Mike Smith, Stephan Eicher, Philippe Jaroussky, Britten Sinfonia…). Their universe has also been invited to the cinema (L’Étoile filante, Ava, Perdrix) and even to the catwalks, signing in 2024 the soundtrack of Alessandro Michele’s first show for Valentino.
With Nuées Ardentes, Birds on a Wire sign an incandescent, intimate and universal record, which confirms their singular place in the international musical landscape.
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En Francais:
Birds on a Wire Nuées Ardentes – Le nouvel album du duo composé de Rosemary Standley et Dom La Nena à paraître le 3 octobre.
Douze ans après leur rencontre, Rosemary Standley (voix, Moriarty) et Dom La Nena (violoncelle, chant) poursuivent leur aventure musicale singulière avec la sortie de Nuées Ardentes, leur troisième album à paraitre le 3 octobre. Explorant le thème de l’adolescence et ses bouleversements, le duo revisite avec grâce et audace des chansons inscrites dans la mémoire collective, mais aussi des répertoires baroques et traditionnels, pour tracer une véritable cartographie sensible de cet âge incandescent où l’on vacille entre l’ombre et la lumière.
Porté par la voix magnétique de Rosemary Standley et le violoncelle vibrant de Dom La Nena, ce répertoire singulier tisse des liens entre les époques et les styles : des chansons de Bronski Beat, The Cure et The Doors dialoguent avec un air de Stefano Landi, une chanson de Barbara et des chants traditionnels anglais.
La Maîtrise de Radio France, dirigée par Sofi Jeannin, apporte une lumière chorale à cet ensemble profondément émouvant. Avec Nuées Ardentes, Birds on a Wire signe un disque à la fois intime et incandescent.
Parmi les titres phares :
– Smalltown Boy (Bronski Beat), emblème des années 80 et de la quête d’identité,
– The Lovecats (The Cure), revisité avec une douce irrévérence,
– People Are Strange (The Doors), plongée dans l’étrangeté et la solitude,
– Perlimpinpin (Barbara), hymne poétique et intemporel,
– La peinture à l’huile (Bobby Lapointe), pleine de fantaisie et d’humour,
– Un air baroque de Stefano Landi, qui dialogue avec ces classiques pop-rock,
– Des chants traditionnels anglais et latino-américains, où l’on retrouve la fibre acoustique et organique du duo.
Dépouillées jusqu’à l’os ou réinventées dans des textures amples où le violoncelle devient orchestre, clavier ou percussion, ces œuvres familières prennent une couleur nouvelle, troublante et lumineuse. La participation exceptionnelle de la Maîtrise de Radio France, dirigée par Sofi Jeannin, apporte une dimension chorale inédite.
Né d’un projet éphémère imaginé à la Cité de la Musique, Birds on a Wire s’est imposé comme un duo incontournable, salué pour son art d’entrelacer les langues, les siècles et les styles. Leur premier album éponyme (2014) célébrait chants d’enfance et joyaux baroques, tandis que Ramages (2020), vendu à près de 50 000 exemplaires, explorait un répertoire allant de Pink Floyd à Brel.
En douze ans, elles ont conquis les plus grandes scènes — Philharmonie de Paris, Olympia, Théâtre antique de Fourvière, Philharmonie du Luxembourg — et multiplié les collaborations prestigieuses (Mike Smith, Stephan Eicher, Philippe Jaroussky, Britten Sinfonia…). Leur univers s’est aussi invité au cinéma (L’Étoile filante, Ava, Perdrix) et jusque sur les podiums, signant en 2024 la bande sonore du premier défilé d’Alessandro Michele pour Valentino.
Avec Nuées Ardentes, Birds on a Wire signent un disque incandescent, intime et universel, qui confirme leur place singulière dans le paysage musical international.